Déboires et aventures à Bishop's University, Sherbrooke, Québec

vendredi 28 décembre 2012

Québec J-2

 On a commencé cette deuxième journée par une balade sur le port et fait un petit crochet par le marché : grave erreur ! La tentation était trop forte, surtout que tous les exposants voulaient nous faire déguster leurs produits (étrangement en fait c'était surtout les exposants d'alcohol qui voulaient nous faire goûter, je ne sais pas vraiment pourquoi, toujours est-il qu'on a bien commencé la journée).

On est ensuite arrivé dans la ville historique basse. C'était super jolie toutes ces maisons en pierre et ces ruelles anciennes. Et, comme vous allez le constater sur les photos, c'était aussi désert (je précises qu'on était sensé être dans le centre touristique). C'est sûr que c'était beaucoup plus agréablement que de devoir tailler son chemin parmi la foule mais des fois c'était quand même un peu bizarre, comme quand on a mangé dans un restau d'au moins cinquantes couverts juste à deux. Du coup l'avantage c'est que tu es toujours très bien servi, voir chouchouté, et que les serveurs ou vendeurs ont le temps (et l'envie) de te parler. Ce n'est pas une légende d'ailleurs : les québécois sont vraiment adorables. 

Le serveur de ce restau nous a expliqué qu'on était pas du tout dans la saison touristique en fait, alors que pour nous le Québec, l'hiver, noël, etc, ça nous parait logique. En fait la saison touristique c'est de la fin du printemps jusqu'en octobre (la saison des baleines et des feuilles colorées).

L'aprèm on a fait le musée de la civilisation qui est juste super et on y a vue des expos très impressionnantes sur les Samouraïs, les Natifs (les Amérindiens), les Maori... Il y en avait aussi une sur le dramaturge et romancier Michel Tremblay (qui ressemble au père de Charles et qui est très très connu au Québec, j'en reparlerai dans un prochain article) dans laquelle il expliquait son rapport à l'écriture et qui était fantastique et inspirante. J'ai remarqué que dans tout les musées où nous sommes allés, les scénographies étaient toujours très belles et inventives (voir parfois même un peu kitchs), toujours très travaillées.

Toutes ces expos étaient très intéressantes esthétiquement (voir spirituellement pour les Maori) et j'ai fait le plein d'inspiration.


mais où sont les gens

personne !

personne !

personne !

ah ! Trace de la présence humaine

et re-personne !

les escaliers casse cou , oui c'est vraiment leur nom, et on comprend aisément pourquoi !

la rue du petit Champlain qui est sensée être la plus touristique

avec son nouveau bonnet !




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