mercredi 3 octobre 2012

Frosh Week



Frosh Week = Semaine d'intergration

Déjà l'emploi du mot semaine aurait du me mettre la puce à l'oreille, de là où je viens on a une "soirée" d’intégration...

Et en effet les moyens sont tout autre... Déjà c'est payant (environ 60$) et toute l'université participe. Pour commencer tu t'inscris et on te donne un sac avec T-shirt avec la chanson de la fac, lunettes, gourde et plein d'autre truc assez inutiles, le tout violet bien sûr, la couleur de la fac, ah oui et des préservatifs aussi (ça annonce la couleur). On met aussi un bracelet flashy qui prouve que tu en es et un autre qui est sensé de garantir l'alcool à volonté (Se second bracelet est en réalité une grosse arnaque car finalement il prouve seulement que tu est majeur et que tu peux boire de l'alcool mais après la bière reste payante dans les soirée).

Frosh Week, où comment organiser une orgie à grande échelle dans la fac, avec l'aide de la fac...

Résultat :  du violet partout, des gens entièrement violet (évidement je n'avais aucun vêtement violet, même en France je crois que je 'en est pas), des gens survoltés, un peu trop parfois, un programme chargé fait de "parties" tout les soirs (dois-je précisé qu'ils ont un genre de boîte dans la fac...), des jeux ambiance colo, des équipes et une coupe à gagner, de la bière dégueulasse (non mais vraiment la bière ici est vraiment infecte, étant du Nord de la France et vivant à dix minutes de la Belgique ça m'a fait un réel choque), des gens survoltés (oui je l'ai déjà dit mais c'est impressionnant) et s'émerveillant de tous, très motivés, des jeux à boire, des tenues de soirée, comment dire, osées...



une partie de mon équipe, les jaunes

Résultat : Sans vouloir paraître coincée, la Frosh Week ce n'est pas vraiment mon truc et j'avais du mal à me mettre dans l'ambiance même si l'ambiance est super "bon enfant" au final. C'était quand même très intéressant à vivre, c'était la rencontre avec un nouvel univers : Bishop's, une nouvelle atmosphère universitaire. Il faut quand même l'avouer c'est un truc énorme et assez impressionnant. C'était aussi super amusant de voir la différence de mentalité avec les université française : j'imagine très très mal les gens de ma fac crier le nom de notre université et chanter une chanson à sa gloire. 

De quoi être vraiment dépaysée !

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